Juste avant les fêtes et précisément le 24 décembre, j’ai reçu un colis très garni de mon nouveau partenaire Jules Destrooper, un fabricant de biscuits de 125 ans d’expérience qui est encore aujourd’hui une entreprises familiale et qui a coeur de fabriquer des biscuits avec les meilleurs ingrédients naturels.
Je remercie Bert pour sa confiance et sa générosité. J’avais déjà eu l’occasion de goûter ces savoureux petits biscuits : "Et si le bonheur était dans un petit biscuit", la phrase culte de la maison Jules Destrooper.
La Biscuiterie Jules Destrooper S.A. est une entreprise familiale
qui cherche à dégager une rentabilité durable en ayant le leadership dans les spécialités authentiques de biscuits au beurre et au chocolat
fabriquées avec les meilleurs ingrédients naturels par une équipe créative de collaborateurs passionnés par leur métier s'inscrivant dans une politique de produits de qualité supérieure
La petite histoire de la famille Destrooper en commençant par Jules
Jules Destrooper est avant tout un négociant colonial et il a comme passion la pâtisserie à ses heures perdues. Il s’amuse à mélanger les épices qu’il importe et il lui prend un jour l'envie de faire des cadeaux de fin d’année à ses clients avec ses propres créations de biscuits: notamment le pain aux amandes.
L’engouement est tel que c’est en 1886 dans la petite ville flamande de Lo que naît la biscuiterie Jules Destrooper. Quatre ans plus tard, Jules Destrooper crée son second biscuit: la Galettes au beurre. A cette époque, chaque mère de famille préparait ses propres galettes pour les fêtes de Noël. Monsieur Jules Destrooper, dans la même tradition, développe sa propre recette et met en marche sa propre unité de production en mode "industriel".
Les efforts continus pour perfectionner la qualité ainsi que le talent naturel de Jules Destrooper pour les affaires ont pour résultat qu'en 1911, le Pain aux amandes gagne la Médaille d'Or à la Foire Internationale de l'Alimentation à Paris. Médaille bien prestigieuse et honorable à l'époque. Plus tard le Pain aux amandes tant que les Galettes au beurre gagnent d'autres prix nationaux et internationaux. A partir de 1949, les produits sont exportés aux Etats-Unis et depuis lors, l'exportation ne cesse d'accroître. En 1962, il a fallu agrandir la capacité de production à Lo, suivi en 1963 par l'acquisition du fabriquant de spéculoos VAN LOO.
La troisième génération de la famille Destrooper continueà moderniser la ligne de production.
L'actuelle et quatrième génération, M. Patriek et M. Peter Destrooper, reprennent les affaires en 1984. Ils revoient la stratégie, et aujourd'hui, la société emploie plus de 120 personnes dans deux unités différentes. Ils réalisent un chiffre d'affaires de 30.000.000 Euro et exportent les produits dans 62 pays dans le monde entier. Sous cette génération, de nouveaux biscuits couverts de chocolat sont nés. Ce sont les Florentines aux amandes et aux noisettes, la Florentines aux noisettes et au riz croustillant (1991) et le Biscuits à la cannelle enrobés de chocolat (1993). Récemment, ils viennent de lancer le Biscuits aux pommes et le Biscuits au sucre de candi enrobés de chocolat. La qualité supérieure des biscuits a non seulement rapporté des médailles d'or à Jules Destrooper mais lui a également valu, la reconnaissance officielle de Fournisseur de la cour de Belgique.
De tous nouveaux produits sont nés afin de rendre hommage aux femmes sans qui les 125 dernières années n’auraient pu être ce qu’elles ont été, grâce à leur soutien, et leur inventitivité.
Amélia- Maria Verlende ( 16/05/1815 - 24/01/1900 ) était l'épouse d'Adolphus Destrooper et la mère de Jules Destrooper, fondateur de la biscuiterie éponyme. Chacun des biscuits témoigne aujourd'hui encore de l'amour qu'elle portait aux parfums exotiques : cannelle, gingembre et maintenant noix de coco ...
Elvira Ghyselen ( 1897- 1985) était l'épouse de Jules Destrooper Junior. Elle s'occupait de sa grande famille et était assurément la femme forte épaulant son célèbre mari. Elle était intelligente et enthousiate. Au sein de l'entreprise, elle se chargeait d'encadrer les collaborateurs. Chaque semaine, elle se rendait au marché au beurre local. Même si elle se montrait très sévère quand au respect des normes de qualité, elle y était particulièrement appréciée. Elle goûtait le beurre de tous les fermiers et déterminait ainsi lesquels pouvaient lui fournir la marchandise. Elle était aussi très habile aux fourneaux.
Gabriëlle Destrooper ( 1886- 1973) Fille de Jules Destrooper et Félicie Verweirder. Petite, Gabrielle passait son temps dans la boulangerie de ses parents parmi les biscuits tout chauds et une foule d'ingrédients exotiques, comme les épices pour spéculoos. Pourtant c'est finalement son frère Jules Destrooper JR, qui développa les activités de l'entreprise familiale. Gabrielle choisit quant à elle sa propre voie ... Mais les délicieux biscuits aux épices , n'étaient probablement jamais bien loin.
Dans mon colis j’ai eu la chance de découvrir:
1 paquet de biscuits " Jules Destrooper " à la cannelle enrobés de chocolat
1 paquet de biscuits fins aux éclats de noix de cajou et à l'orange
1 paquet de galettes au beurre
1 paquet de biscuits aux pommes
1 paquet de biscuits au sucre candi enrobés de chocolat
1 paquet de petits pains aux amandes
1 paquet de Florentines aux amandes
1 paquet de Florentines aux noisettes et riz croustillant
1 paquet de biscuits de gingembre
1 paquet de biscuits " Amélia " coco et chocolat au lait
1 paquet de biscuits " Gabriella " des speculoos pur beurre
1 paquet de biscuits " Elvira " au beurre avec du chocolat noir
Moins connus en France qu’en Belgique, on trouve néanmoins maintenant ces petits biscuits aux rayons biscuits des grands surfaces.
Des recettes en perspectives à venir.